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La famille Anoszia est l'une des plus vieilles dynastie de la péninsule, pas la plus puissante mais l'une des premières à s'être érigé à la création du royaume des Fiiram. C'est une des grandes familles fieffé en Ydril qui a su s'imposer sur son comté. L'ère Anoszia marque la fin de la Guerre des Deux-Dragons en l'an 8 du XIIème cycle. La dynastie Anoszia a fourni des conseillers royaux, des sénéchaux comtaux, des amiraux et des comtesses. Aujourd'hui son patriarche est Arichis d'Anoszia, et son fils Oschide d'Anoszia est l'actuel duc de Langehack.
Histoire[]
Les origines de la dynastie[]
La famille Anoszia est l’une des plus anciennes de la péninsule, non pas la plus puissante ni la plus riche, l’une parmi d’autre, mais l’une des premières. Agylus d’Anoszia, Premier du nom et Illustre Chancelier du Roi des Hommes donna le premier souffle à cette famille, longtemps tapis dans l’ombre des Plus Grands. Nul ne peut contester son héritage admirable, son fils Agylus, Deuxième du nom accompagna le futur Duc de Soltariel sur ses futures terres pour l’aider à les gérer. Les mauvaises langues racontent qu’il en fût ainsi car Agylus, Premier du nom, craignait que son fils ne le supplante à la cours du Roi. Conseiller fidèle du Duc, Agylus II se montra à la hauteur des espérances de son père, ainsi que son frère Osmar qui au nom du Roi dirigeait des armées à l’est du pays. La lignée du frère s’éteint deux générations plus tard, la fille épousa un seigneur d’Erac et le nom se perdit dans l’histoire de ce duché. Ne survécut que celle de Agylus II, qui par un habile jeu de mariage arriva à marier sa fille au fils du Duc de Soltariel, tout ceci se passa dans un lointain passé où le nom de jeune fille se perdit dans les méandres de l’histoire Solatrii. Son fils reprit le flambeau de conseiller et noua des amitiés avec celui qui deviendra le tout premier Comte d’Ydril. L’Histoire se répète. Celle des Anoszia également. L’un des Oschide d’Anoszia suivit le nouveau Comte d’Ydril sur son nouveau fief, les deux frères le devinrent réellement lorsqu’Oschide épousa la cadette du Comte. De l’amitié née l’Amour, de l’Amour née l’Héritier. Oschide puis son fils après lui aidèrent les premiers Comte à unifier leur nouveau fief autour de leur autorité. A l’aube de batailles difficiles, l’Amitié des deux familles résista aux chocs des épées et du temps. Les Anoszia et les d'Ydril évoluèrent ensemble à travers les ans et les siècles, une Anoszia de temps en temps devenait Comtesse. On raconte même que le sang des premiers Comte coule dans les veines des Anoszia de Velmone. Durant les siècles de règne des d'Ydril, aucun des hommes Anoszia ne vint à s’asseoir sur le Trône d’Ydril. Les Seigneurs de Velmone n’eurent qu’un rôle de fidèle vassaux jusqu’au règne d’Asmar, Quatrième du nom, qui petit à petit, sentant le vent tourné, se désolidarisa de son suzerain le Comte. L’Amour vacille à l’Amitié, de l’Amitié ne survit que les Intérêts. Les Anoszia qui suivirent prirent comme habitude d’envoyer leur fils aîné, ou cadet selon les circonstances à la cour ducale ou royale pour parfaire son éducation. On peut citer dernièrement Uggo d’Anoszia qui servit comme conseiller le Duc de Soltariel pendant que son fils régentait leurs domaines en son nom. Plus récemment encore Arichis, Conseiller Militaire d’Ultuant puis de Trystan, tous deux Rois des Hommes.
Arrêtons de parler des anciennes générations des Anoszia pour nous concentrer sur les actuels qui sont compliqués par les habiles jeux de mariage et autres alliances que l'actuel patriarche s'est amusé à tisser. D'Oschide et de Richilde d'Olyssea sont nés une joyeuse fratrie qui grandit dans le respect mutuel de l'un et de l'autre. Arichis était l'ainé, il devait donc hériter et être secondé par ses frères et soeurs. Ansaldo, frère cadet était né guerrier. Son père l'éduqua dans ce sens, son parcours le mena à diriger une compagnie ydrilote puis à se mettre directement au service des Ducs de Soltariel en devenant capitaine d'un régiment et cela jusqu'au règne d'Inès de Soltariel. Myriam épousa le seigneur de Mirabelo avec qui elle eut quelques enfants, Odoric di Mirabelo devint ainsi un des précieux alliés de la famille Anoszia d'ailleurs l'un des fils a su se faire un nom dans le domaine de la navigation. Simon, le plus jeune des frères possède des entrepôts et docks du port d'Ydril et entreprend des affaires dans la construction navale devenant un armateur influent de la cité portuaire, il possède entre outre de très bons amis dans les corporations marchandes dont celle du Couchant. Ses biens confisqués par Diogène lui furent ré-attribué suite à la victoire d'Inès. Enfin Sibylle la plus jeune des sœurs n'est pas mariée, veuve et toujours pucelle. Perle d'Arichis il ne la mariera qu'à un bon parti. De ses frères et soeurs Arichis dispose d'une myriade de nièces et neveux qu'il chérit autant qu'il les utilise pour nouer ses alliances.
Oschide XI d’Anoszia reprit le flambeau de ses aïeux avec fierté. Ses prétentions ne dépassèrent jamais ses capacités et il n’aspira nullement à usurper un trône qui ne lui revenait pas, ou même une route qui ne lui appartenait pas. Remplissant avec honneur son office, il vécut les raids pirates et la rudesse de la guerre. Ses fils l’assistèrent dans ses décisions, le soutinrent dans ses actions et l’épaulèrent sans défection. L’Histoire est un cycle, à la gloire succède la décadence mais jamais la déchéance. Après la mort d’Oschide et l’ascension au pouvoir de Diogène de Systolie, les Anoszia furent banni d’Ydril et ne revinrent qu’avec la chute du dragon systolien. L’exil ne fut pas le début de la déchéance, tout au contraire il permit de donner un nouveau souffle aux Anoszia menés par Arichis qui profitèrent de la situation pour étendre leurs tentacules sur le Comté.