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Chaque territoire et protectorat des Taledhel est défendu par des troupes locales, toutes sous le commandement du Seigneur protecteur; mais l’armée royale (également appelée armée d’Ellyrion ou armée du sud) est responsable de l’intégralité du royaume, elle est basée au Fort Ellyrion et est placée sous le haut commandement du roi (qui préfèrera généralement avoir l’appui du conseil des protecteurs). Il faut noter que bien que le roi soit également seigneur protecteur d’Aleandir, il existe une garde spécifique aux terres de la capitale différente de l’armée royale.


Histoire[]

Invasion naine[]

Dès le premier cycle, alors que les elfes profitaient encore de leurs premiers pas sur le monde, les nains déferlèrent sur Anaëh. Les fils du Dieu de la Guerre étaient redoutables au combat, mais leur avancée fut largement freinée par leur peur des forêts obscures, à l’époque encore baignées d’une magie incroyablement profonde.

Les défenses magiques de la forêt laissèrent le temps aux elfes de regrouper leurs tribus éparpillées et de développer des techniques leur permettant de défendre les terres dont ils faisaient partie.

Les premiers à combattre furent essentiellement ceux qui maniaient la magie, puis ceux qui maniaient l’arc, tout juste inventé. Ce n’est que plus tard qu’arrivèrent des elfes capables d’affronter les nains sur le terrain auquel ils excellent : le corps à corps. Ceux-ci arrivèrent d’abord avec des lances, qui leur permettaient de profiter pleinement de leur allonge et de leur grande taille, contrant ainsi la force brute des petits êtres. L’épée ne vint qu’en dernier, notamment grâce aux rares périodes de trêve avec les nains, lors desquelles on tentait tant bien que mal d’échanger entre les deux peuples. Ces échanges permirent aux elfes d’améliorer considérablement leur maîtrise de l’acier. L’épée eut des formes très variées avant que l’on ne finisse par dégager les modèles les plus efficaces. Aujourd’hui elle tend encore à évoluer en se mélangeant au style humain.


Invasion humaine[]

Les guerres contre les nains furent une rude épreuve pour les elfes, mais elle les força à s’adapter et à développer leurs armes et leurs stratégies, ainsi lorsque les humains encore primitifs attaquèrent à l’ouest, les elfes n’eurent cette fois aucun mal à les repousser.

Mais les humains revinrent, bien plus organisés et destructeurs que jamais. Les elfes ne s’attendaient pas à une telle évolution, leur armée encaissa un choc jamais égalé, et perdirent la région d’Aduram. Une fois de plus les Sylvains auraient dû s’adapter, mais le seul changement majeur fut l’apparition de la cavalerie, idée envisagée mais rejetée auparavant qui finit par être acceptée lorsque les humains arrivèrent juchés sur des régiments de chevaux.

Avec Aduram les elfes avaient perdu quelque chose, un pouvoir, un savoir-faire, une partie entière de leur être, quelque chose qu’ils ne récupèreraient jamais. Les évènements avaient forcé les elfes à abandonner une part de leur propre nature, et il semble aujourd’hui qu’ils soient condamnés à ne plus jamais évoluer, à stagner dans le souvenir d’un passé glorieux.


Avant la guerre elfico-drow[]

La guerre contre les humains marque la fin des progrès militaires des elfes. Ils ont développé des techniques de combat à l’efficacité redoutable. Les batailles qu’ils ont menées ont apporté aux elfes la réputation d’une armée parfaite, invincible, réputation que même les générations naines et humains qui n’ont pas vécu la guerre connaissent.

Cependant, les elfes n’ont pas mené de guerre majeure depuis l’invasion humaine et le monde autour d’eux a bien changé. Les nains ont inventé la balistique dont les humains se sont rapidement dotés, ces derniers par leur nombre et leur activité sont en voie d’imposer leur manière de conduire une politique militaire, et les drows au Sud, sans aucun scrupule, repoussent les limites conventionnelles de la guerre.

Les Sylvains ne se sont jamais battus que du côté des défenseurs, appliquant toujours les mêmes tactiques réputées imparables mais aujourd’hui bien connues. Les troupes d’Anaëh disposent d’un potentiel non négligeable, mais celui-ci ne peut être efficace que tant que leur ennemi leur permettra d’appliquer les tactiques qui font leur puissance. Mais face à de nouvelles armées et à de nouvelles stratégies, la seule puissance des soldats risque de ne pas suffire. Il leur faudra alors repousser leur limite... ou accepter le pire.


Tactiques[]

Les elfes sont habitués à défendre et non pas à attaquer, ils s’appuient essentiellement sur leur capacité à briser l’offensive ennemie et non pas sur des charges enragées (bien que cela arrive si nécessaire, comme à Alonna où les drows tentaient une manœuvre de repli).

Ils s’appuient autant sur la puissance de leurs formations que sur le contrôle des formations ennemies. L’utilisation du terrain est le dernier point fort des Sylvains, ils combattent pratiquement toujours sur des terres qu’ils connaissent et n’hésiteront jamais à utiliser la nature à leur avantage, on peut considérer que c’est le seul aspect militaire où les elfes sont encore capables d’adaptation.

Ils ont foi en la puissance de leurs guerriers, ceux-ci passent des décennies voire des siècles à s’entrainer, le moindre soldat de base reste un défi conséquent pour les meilleurs combattants des autres races. La coordination de l’armée elfe est également irréprochable, elle agit comme un corps unique là où leurs ennemis les mieux organisés souffriront toujours de quelques failles dans leur synchronisation.


Combat à découvert[]

Le schéma classique d’une bataille elfique sur un terrain dégagé s’appuie sur les trois corps principaux de l’armée royale : l’infanterie, l’archerie et la cavalerie.

L’infanterie constitue le potentiel défensif, elle forme un mur impénétrable, encaissant toutes les attaques adverses. L’archerie elle, sert de principal potentiel offensif, utilisant alors l’arc long et étant protégée par l’infanterie elle profite de la portée très supérieure de ses arcs pour toucher sans être touchée. La cavalerie enfin a essentiellement pour rôle de désorganiser l’ennemi, sa mobilité lui permet d’aller frapper rapidement les points faibles de la formation ennemie. Dans ce genre de cas, les elfes tentent autant que possible de protéger leurs arrières par une défense naturelle, comme un relief permettant également de donner de la hauteur aux archers.


Combat en milieux difficile[]

Mais là où les elfes excellent vraiment, c’est au combat dans des environnements aussi complexes que les forêts, elle est en fait la seule armée qui soit réellement à même de combattre librement dans ce genre de conditions et cherchera donc à forcer les troupes ennemis à se battre ainsi.

Le combat des elfes sur ce genre de terrain peut paraitre désordonné, mais c’est en fait un ensemble de manœuvres savantes visant à éparpiller et perdre l’ennemi dans cet environnement où la mobilité et la visibilité sont réduites. Pour cela les troupes se scindent en une multitude de petits groupes, voire partent en solitaire. Ils utilisent leur capacité bien supérieure à se mouvoir dans pour harceler l’ennemi, le faire paniquer, et ainsi rompre toute son organisation.

L’infanterie privilégie l’épée, plus facile à manipuler dans une végétation dense par exemple. L’archerie privilégie l’arc court, peu encombrant, rapide et maniable. Son utilisation à courte distance rend négligeable sa puissance moindre. Dans le cas où l’ennemi choisirait de se regrouper, ce n’est pas un meilleur choix que l’éparpillement car les archers finiraient par les encercler est les cribler de flèches tout en restant hors d’atteinte, protégés par exemple par des feuillages.

La cavalerie est bien souvent inutile dans des environnements trop difficiles, mais lorsque des voies dégagées existent, le passage brutal des chevaux habitués à ces environnements apporte une grande confusion dans les rangs ennemis.


Résumé[]

Points forts :[]

  • Le moindre soldat est une unité d’élite, alors ne parlons même pas des unités d’élite
  • Les troupes sont capables d’actions coordonnées d’une précision jamais égalée
  • Ils maitrisent des tactiques parfaitement rodées qui les rendent pratiquement imbattables dans un certain nombre de situations
  • Ils sont capables d’utiliser leur environnement comme personne
  • Possibilité de décupler les effectifs en cas d’extrême urgence


Points faibles :[]

  • Incapacité à s’adapter à des situations nouvelles sur le vif
  • L’armée elfe n’a pas évolué depuis de nombreux siècles, on commence à la connaitre par cœur
  • La hiérarchie a parfois du mal à se mettre d’accord
  • La mobilisation maximale connait des limites en matière d’efficacité


Armées des Protectorats[]

L’organisation des armées locales est totalement libre, mais on retrouve généralement les mêmes schémas de base et les mêmes spécialisations que dans l’armée royale, ce qui facilite la mise en commun.

À moins qu’il ne soit lui-même un militaire très compétent (certains chefs militaires se sont vu attribuer des terres au cours de l’histoire) le protecteur ne dirige généralement ses troupes locales qu’en termes de directives politiques et militaires mais laisse le vrai contrôle à un chef militaire sous ses ordres, tout comme le roi laisse le contrôle de l’armée au commandant en chef.


Postes de Gardes[]

Les armées locales n’ont de réelle existence administrative que dans les capitales des territoires et leurs grandes villes. Cependant, on trouve souvent autour des Cités, des postes de gardes très fortifiés mais gardés par un nombre peu important de soldats. Leur objectif est de prévenir les mouvements dans la forêt et de permettre aux elfes des Cités de maintenir une source d'information dans la mer verte.

Malheureusement ces bâtiments sont mal perçus des elfes des Noss qui voient d'un mauvais œil ce genre d'incursion sur leur territoire. Ainsi il n'est pas rare de voir ces endroits attaqués, même si on déplore rarement des blessés graves et encore plus rarement des morts.


Entraide des armées[]

Les armées locales sont en théorie indépendantes de l’armée royale, mais lorsque la situation l’exige les gradés des armées du sud peuvent demander l'aide des troupes locales. Les soldats d’Ellyrion sont généralement considérés comme ayant une valeur plus sure que les soldats locaux et un gradé royal peut assez facilement dépasser son rang équivalent dans certaines armées locales.


Conseil des Protecteurs[]

La mise en commun des armées locales dans l’armée royale est décidée lors du conseil des protecteurs. Chacun d’entre eux est libre d’engager ou de retirer ses troupes et peux ne pas tomber d’accord sur les décisions militaires, mais on préfèrera toujours un accord commun à une situation politique interne plus tendue.

Les armées royales sont formées par la mise en commun d’une partie des armées locales. Les transferts de troupes se font généralement en continu, mais la décision des quantités exactes de troupes à mettre à disposition selon la situation est prise lors des conseils des seigneurs protecteurs. Ce conseil a d’ailleurs son mot à dire sur toutes les grandes décisions militaires, mais seul le roi peut énoncer la décision finalement prise. Un seigneur protecteur peut choisir de retirer ses troupes de l’armée royale s’il estime qu’elles courent à leur perte, mais un cas de pareil désaccord s’est rarement vu dans l'histoire et fait bien souvent réfléchir le conseil tout entier.


Armée Royale[]

Les armées royales sont formées par la réunion d’un effectif permanent de troupes dédiées (des soldats ayant choisi d’intégrer directement l’armée royale plutôt qu’une garde locale) et des effectifs variables venant des armées locales de chaque territoire, généralement des soldats triés sur le volet.


Imperials Marching by epson361

Infanterie de l'Armée Royale

Libre arbitre[]

Chaque soldat est libre du choix de son corps d’armée, et libre également d’en changer. Les soldats sont tous des volontaires, des professionnels suivant une vocation militaire, et non pas des recrues forcées pour servir en seul temps de crise (procédé que les elfes déplorent, autant pour son aspect meurtrier que pour son inefficacité). De plus, les elfes respectent le libre arbitre de chacun, y compris des soldats. Ce sont avant tout des volontaires et non pas des réquisitionnés, ils peuvent choisir de rester se battre même si leur seigneur décrète que c’est de la folie.


Bannière des Taledhel[]

La bannière des elfes est le résultat d’un compromis judicieux permettant à tous les elfes de se sentir représenté par ce symbole. Elle figure une étoile à sept branches argentée (représentant les sept terres

ancestrales d’Anaëh) avec trois feuilles dorées flottant en-dessous (ou à côté suivant les dimensions du support), le tout sur fond vert.

La signification des trois feuilles est incertaine, de nombreuses versions existent sans probablement qu’aucune soit vraiment fausse. Certains y voient l’union du simple peuple à l’armée et à la religion, d’autres celle des trois déesses ayant permis l’existence des elfes (Kÿria pour les avoir créés, Elenwë pour avoir donné l’énergie de la vie, et Tari pour avoir offert l’éternité), ou encore de la nature, la magie, et la religion, voire parfois une simple référence à Anaëh. La variété des interprétations possibles a permis aux emblèmes d’être globalement acceptées, ce qui n’avait pas été le cas avec d’autres propositions.


Hiérarchie[]

Un gradé elfe n’atteint jamais son poste que pour son talent et son expérience. Ainsi un supérieur hiérarchique n’est pas respecté pour le grade qu’il porte mais pour la qualité que celui-ci est censé garantir. Bien sûr des exceptions existent, mais le dialogue entre les différents grades est largement accepté voire même encouragé, dans certaines limites toutefois, même le plus ouvert et tolérant ne peut supporter bien longtemps qu’un jeune prétentieux sans expérience vienne remettre en cause ses décisions dont il connait l’efficacité.

Désobéissance[]

L’intelligence et l’orgueil des elfes les conduit quelquefois également à désobéir à un ordre, souvent parce que celui s’avère inadapté à une situation qui vient de changer brusquement, mais parfois aussi par "caprice" d’un inférieur hiérarchique (bien qu’il soit rarement totalement injustifié).

Tous les gradés et même simples soldats disposent néanmoins d’une formation solide, la désobéissance mène donc assez peut souvent à des erreurs monumentales. Les sanctions encourues varient à la fois en fonction des motivations et des conséquences mais ne sera jamais décidée directement par le supérieur hiérarchique direct du soldat en faute pour éviter les jugements arbitraires.

Grades[]

En-dessous du roi, c’est le commandant en chef des armées qui a le contrôle des troupes d’Ellyrion. Il se réunit en conseil avec les capitaines de chaque section pour discuter des tactiques et des effectifs en temps, mais également de l’administration et des infrastructures à la disposition de l’armée pour faire ressortir les adaptations qui seraient nécessaires.

Commandant des Armées[]

Même si son rôle est assez administratif, le commandant

peut prendre part à une bataille. Il ne le fait généralement que lorsque la majorité des troupes sont mobilisées pour une grande bataille d’importance non-négligeable pour une meilleure organisation, les gradés présents se reposent alors sur son expérience pour commander à des niveaux plus spécifiques tandis que le commandant agit de manière globale, bien entendu cette présence est également symbolique et motive les troupes.


Capitaines[]

Les capitaines ont le contrôle d’une section particulière de l’armée. Une grande partie de leur travail est exclusivement administratif: ils s’assurent de mettre à disposition les structures nécessaires à la formation des unités, leur hébergement si besoin ou leur équipement. Leur but est de fournir les soldats les plus compétents possibles. Ils apportent leurs connaissances spécifiques des troupes lors des concertations tactiques avec le commandant en chef.

Tout comme ce dernier, il arrive également qu’ils prennent part de plus près aux actions militaires, souvent lors des batailles impliquant de grands effectifs afin de fluidifier la direction des mouvements des troupes au niveau de leur section.


Lieutenants[]

Les capitaines ont sous leurs ordres plusieurs lieutenants. Leur nombre est variable d’une section à l’autre, ils agissent au niveau opérationnel, c’est-à-dire en prenant des décisions pour appliquer au mieux les directives tactiques venues de plus haut.

Une certaine hiérarchie peut exister entre les lieutenants selon leur spécialisation, ceux qui dirigent une sous-section particulière d’une section sont appelés sous-lieutenants. Les sous-lieutenants ne sont pas nécessairement, sauf nécessité sous les ordres des lieutenants, mais ont simplement une moins grande variété de troupes à leur disposition.


Caporaux[]

Enfin, les lieutenants nomment des caporaux. Ce sont des chefs de groupe, chargés d’appliquer les ordres et éventuellement de prendre des décisions en cas d’imprévu. Les groupes se font et se défont au besoin des missions et des combats, les caporaux ne sont pas permanents. Certains toutefois acquièrent une certaine renommée et sont donc régulièrement sélectionnés, il y aussi des groupes qui se révèlent particulièrement efficaces et restent donc inchangés. Dans certaines sections, les caporaux n’ont pas lieu d’être, comme chez les Eperviers où les messagers sont de toute façon solitaires.


Postes actuels de l'Armée Royale[]

  • Commandant en chef des armées elfes : Kelendil Lennderiel [porté disparu]



  • Capitaine d’infanterie - Elrendil Silad [inactif]
    • Lieutenant des épéistes
      • Sous-lieutenant des épéistes à une main
      • Sous-lieutenant des épéistes à deux mains
    • Un lieutenant des lanciers
      • Sous-lieutenant des lanciers à une main
      • Sous-lieutenant des lanciers à deux mains


  • Capitaine d’archerie - Delnwë Iridwen
    • Un lieutenant
      • Sous-lieutenant arc court
      • Sous-lieutenant arc long
  • Capitaine de cavalerie - Delyndil Nöldorion [inactif]
    • Lieutenants des archers montés
    • Lieutenant des guerriers montés


  • Capitaine des éclaireurs
    • Des caporaux occasionnels lors des reconnaissances en groupe


  • Capitaine des Aigles
    • Deux lieutenants


  • Maître Épervier - Sandriel [Prédéfini]
    • Lieutenant (plus un délégué allégeant la tâche du capitaine qu’un vrai lieutenant, il n’agit que dans la partie ‘visible’ de la section)
    • Pas de caporaux Le seul responsable de la partie ‘cachée’ de la section est le capitaine, les autres membres de cette facette ne sont que des contacts qui n’ont au maximum qu’une connaissance très partielle de celle-ci


  • Capitaine des auxiliaires
    • Lieutenant de la section offensive: mage
    • Lieutenant de la section offensive: autres
    • Lieutenant de la section défensive: guérisseurs
    • Lieutenant de la section défensive: autres

Effectifs[]

Attention: entre Ellyrion (999 du 10e Cycle) et l'an 9 du 11e Cycle, Anaëh a essuyé plusieurs attaques très rudes: Ellyrion (plus grande débacle elfe, l'armée royale, l'armée d'Alëandir , l'armée d'Ardamir ont été presque divisé par deux ( un peu de Daranovar aussi) ), Prise d'Eraison (éradication de la force armée d'Eraison), Maintient du front (guerre d'usure avec l'armée royale, l'armée d'Alëandir, de Malereg et d'Ardamir), la Récupéation d'Eraison (par Ardamir et Eteniril) et le renvoie des Drows hors d'Anaëh (un peu tout le monde sauf Ardamir (à Eraison), le gros d'Eteniril (à Eraison) et Holimion qui refuse de se joindre aux combats)

Armée royale: autour de 3 000 (en temps de paix relative) moins de 1 000 après Ellyrion

  • Infanterie: 1 100 (an 9: 400)
  • Cavalerie: 500 (an 9 : 200)
  • Archerie: 900 (an 9: 200)
  • Eclaireurs: 150 (an 9: 50)
  • Aigles: 300 (an 9: 150)
  • Eperviers: 50 visibles (an 9: 50)
  • Auxiliaire: 100 (an 9: 50)


Armées locales: autour de 60 000 (en temps de paix relative)

  • Aleandir: 8 000 (an 9 : 4 500)
  • Ardamir: 7 500 (an 9 : 3 100)
    • Ardamir : 1 300 (début an 9 : 1 000)
    • Mera : 2 200 (début an 9  : 1 200)
    • Wyslena : 2 000 (début an 9  : 800)
    • Eraison : 2 000 ( actuellement décimée, 100 rescapés à Ardamir)
  • Daranovar: 11 000 (an 9 : 10 000)
    • Daranovar : 4 000 (an 9 : 3 000)
    • Linaëh : 2 500
    • Tethien : 2 500
    • dernier protectorat : 2000
  • Eteniril: 10 000 ( an 9 : 9 500)
    • Eteniril : 3 500 (an 9 : 3 000)
    • Actellys : 1 700
    • Scalim : 2 000
    • Solith : 2 800
  • Holimion: 7 000 (an 9 : 7 000)
  • Malereg: 8 000 (an 9 : 6 600)
    • Malereg : 2 200 (an 9 : 1 100)
    • Eldarinwa : 1 800 (an 9 : 1 500)
    • 2 autres : 4 000
  • Quatrième-Saison: 8 000 (an 9 : 8 000 )
    • Quatrième-Saison : 2000
    • 3 autres: 2000 chacun

(Nous parlons ici des terres ancestrales et non des protectorats)

Mobilisation maximale[]

Lorsque la situation militaire devient très dangereuse, les différentes terres et protectorats ne joignent plus seulement leurs forces en intégrant des unités à l’armée royale, mais en allant eux-mêmes au combat au côté des armées du Sud avec leurs troupes de défense locale.

Toutes ces troupes supplémentaires ont généralement des méthodes de combat plus ou moins différentes, on évite donc de mêler toutes ces troupes et on préfère les envoyer sur des fronts différents.

Cette possibilité de démultiplier les effectifs et donc les possibilités d’action constitue une défense ultime face à une situation désespérée, mais elle est limitée par les différences culturelles. Une mise en commun totale des effectifs et du commandement serait particulièrement dangereuse, et même sans cela la communication a parfois du mal à se faire entre les chefs militaires.

Ceci implique que les elfes sont en général limités dans la taille maximale d’un seul groupe de combat, ils sont obligés d’agir avec plusieurs groupes indépendants.

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